Jenna
" L'Aventure Est Dans Chaque Nouveau Souffle De Vent "
Messages : 16
Date d'inscription : 22/02/2010
Age : 32
Feuille de personnage
Age: Chienne adulte.
partenaire: Balto, mon amour, mon coeur t'appartient à jamais =^.^=
race: Chienne husky pure race.
 |  Sujet: Jenna, la Beauté Ardente...  Lun 22 Fév - 23:06 | |
| -Nom : Je m'appelle Jenna.
-Sexe : Je suis une femelle. Ça se lit, non ? 
-Physique : Je suis une magnifique... oui, magnifique, celui qui dira le contraire se prendra un coup de crocs dans le derrière... représentante de mon espèce, une jeune chienne husky, à l'épaisse fourrure d'une couleur rouge de brique, avec le visage, le ventre, le coup, le dessous de la queue et les pattes formant une longue ligne blanche comme la neige dans laquelle j'aime me rouler. J'ai un museau ovale, sur lequel est presque toujours affiché un sourire radieux, avec des yeux de couleur brun dont le regard peut être doux et amical envers les membres de ma famille et mes amis, et sombre et féroce envers mes ennemis. Je possède aussi de longues et fines jambes musclées et élancées, ce qui me rend assez rapide à la course, bien que je ne sois pas capable de battre des champion tel que Balto ou Steel. Je porte toujours autour du coup mon bandana orange, qui me fait office de collier.
-Caractère : Je suis une jeune chienne intelligente et rusée. Je possède différentes personnalités en moi-même, tout dépend de qui j'ai en face de moi et dans quel état d'esprit je me trouve. Je suis presque toujours souriante, tendre et douce. Je suis toujours prête à venir en aide à tous ceux qui ont besoins de moi, qu'ils soient mes amis, ou même mes ennemis. Mais si je me sens insultée ou agressée, si on me prend pour un vulgaire objet qu'on peu manipuler à sa guise, ou encore si on s'en prend à ceux que j'aime, je deviens une vraie rebelle, courageuse, parfois aussi féroce qu'une louve sauvage. J'ai du répondant, et je n'hésite pas à dire ce que j'ai sur le coeur. Je suis susceptible et assez rancunière. Lorsqu'il s'agit de mes enfants, ou de mon compagnon, je peux devenir une véritable mère-poule, parfois sans doute un peu trop protectrice. Je suis cependant une bonne conseillère, et je sais trouvée les mots juste pour les rassurer lors de leurs pires coup-de-cafard. J'aime la caresse du vent. Pour moi, rien n'est meilleur pour se remettre d'aplomb que de le sentir s'infiltrer à travers ma fourrure, l'entendre claquer à mes oreilles. J'aime aussi observer la pleine-lune et les étoiles, ainsi que les aurores boréals, qui pour moi sont les plus beaux spectacles au monde. Et j'adore entendre mon compagnon pousser le chant des loups.
-Histoire : Je suis née à Nenana, de l'alliance de deux parents huskys pures races. C'était une nuit fraîche d'automne, et mon père était agité, stressé, il faisait les cent pas devant la porte de la cabane à outil dans le jardin de sa compagne. A l'intérieur de la cabane, on pouvait entendre les cris de douleurs de celle-ci. Le mâle était inquiet. Il aurait temps aimé pouvoir être auprès d'elle, pouvoir l'encourager, pouvoir trouver un moyen de l'aider. Mais il savait qu'il ne pouvait pas entrer : il serait inutile, ne ferait que la stresser, et de toute façon, elle lui avait formellement interdit d'entrer. Les cris cessèrent un petit moment, laissant place au bruit de la respiration rapide d'un allaitement, accompagné du son d'un tout petit couinement. Le chien s'avança lentement, commença à pousser la porte... celle-ci grinça sur ses gonds, et à l'intérieur, la femelle poussa un grognement pour lui ordonner de reculer. Le travail n'était pas terminé. Les cris reprirent de plus belle. Il passa à nouveau quelques minutes, puis il y eut à nouveau une accalmie, puis ils recommencèrent, et se calmèrent pour la troisième fois, puis reprirent, puis se recalmèrent... et là, ils ne reprirent pas. A l'intérieur de la cabane, le silence n'était plus rompu que par la série de petits couinements... l'husky se risqua alors à pénétrer dans la cabane à outils : il se faufila dans l'entrebâillement de la porte, et s'avança vers la fond. Là, il trouva sa compagne au fond, confortablement couché dans son panier installé contre le mur, penché sur trois petites boules de poiles collaient à leur mère, gigotant frénétiquement à la recherche des tétines renfermant le bon lait nourrissant. Celle-ci cessa un moment de ronger les cordons ombilicales, et leva ses yeux d'ambre vers ceux de son compagnon. Leurs regards se croisèrent, et ils se firent mutuellement un grand sourire. Ils venaient d'avoir leur première portée.
C'est ainsi que nous sommes nés, ma soeur, mes deux frères et moi-même. La suite de cette période, notre enfance, fut bien banale. Nous grandîmes et nous développèrent, éduqués par nos parents. Nous apprîmes certaines choses de la vie par nous-même, comme l'instinct ou la défense, à travers les jeux des bébés chiens, et eux, ils terminèrent notre éducation. Ils durent cependant faire vite, car seulement 6 mois après notre naissance, les maîtres de notre mère firent passer une annonce dans le journal locale de la ville, avec pour titre "Vend chiot de pure race husky". Je fus la première de la portée à être adopté. Ce fut par une toute petite humaine, une jeune fille qui devait avoir en âge bipède mon âge canin, du nom de Rosie. J'aima tout de suite cette petite fille, dès le moment où nos yeux se croisèrent. Elle m'éleva avec tendresse et je grandis dans la joie. Le jour où elle et ses parents partirent, me laissant seule à la maison, pour aller m'acheter un collier, Rosie revint avec une longue bande de tissu de couleur orange. Elle me le noua autour du coup, et je m'aperçus alors que c'était un bandana. C'est lui qui, toute me vie, me fit office de collier, et je ne le quitta presque jamais.
Le jour de mes 1 an, j'étais alors devenu une magnifique femelle adulte, le père de ma jeune maîtresse trouva un travail dans une ville éloignée, perdu au milieu de l'Alaska, du nom de Nome. J'appris, en en parlant avec mes amis de Nenana, que c'était dans cette ville que se trouvait le traîneau du meilleur chien de course de l'époque, triple gagnant du collier d'or. C'est ainsi que nous avons déménagés dans cette petite ville. Au début, je ne m'y sentis pas très à l'aise, car je ne connaissais personne, mais je fut rapidement très heureuse d'y vivre. C'est là-bas que je rencontra mes deux meilleurs amies, deux jeunes commères du nom de Vixy et Dixy. Et, bien sûr, je fis très vite la connaissance du fameux champion, Steel, un beau husky noir. Mais, moi qui n'avait jamais eu de problème avec qui que ce soit, il s'avéra très vite que je n'aimais pas beaucoup ce chien. A peine je l'avais rencontré qu'il s'était déjà mis en tête de me séduire, qu'il tenta de m'attirer vers lui, qu'il se mit à répéter partout que je lui appartenais. Et plus je repoussait ses avances, plus il devenait collant, comme si je n'étais que le bibelot de luxe qu'il pouvait gagner à l'une de ses course. Et j'avais horreur de ça ! Par la suite, alors que je me promenais dans les ruelles sombres de Nome, que je n'avais pas encore totalement visité, je leva le museau en l'air, m'immobilisant tout à coup en sentant une odeur contre laquelle on m'avait toujours mise en garde. Je me retourna, et me retrouva alors face à face avec ce que je pris d'abords pour un vrai loup. J'avais déjà entendu parler, par mon amie Dixy, d'un chien errant très dangereux, vivant en ville, et ayant du sang de loup qui coulait dans ses veines. Je recula de peur, mais fus surprise de voir que ce chien-loup faisait de même. Timidement, je m'approcha, j'entama doucement la conversation, et très vite, je m'aperçus qu'en fait ce chien, nommé Balto, était très sympathique, qu'il n'avait absolument rien de sauvage, et encore moins de dangereux. Pourtant, le pauvre était rejeté par les humains comme par les autres canins de Nome, pour la simple raison... qu'il était né.
Le jour où une épidémie de diphtérie, une terrible maladie, frappa Nome, ma petite maîtresse, Rosie, attrapa la maladie. Le stoque de vaccin contre ce fléau s'était malheureusement épuisé. Ce fut une terrible douleur pour moi, alors que je regardais celle à qui j'avais offerte ma fidélité sombrer entre les bras de la mort. Balto semblait partager ma douleur, et c'est au court de cette douloureuse expérience que je m'aperçus que j'étais amoureuse de lui. J'alla même jusqu'à le suivre lorsqu'il partit à la recherche du traîneau de médicament, alors que celui-ci s'était perdu dans le blizzard, se condamnant eux-même, ainsi que les enfants de Nome, à une mort certaine. Je les rattrapa, lui et sa petite famille, composée d'une oie et de deux ours, alors qu'ils étaient attaqués par un féroce grizzly. Je n'hésita pas et me jeta sur la bête. Un féroce combat s'en suivit, où nous fahirs tous y perdre la vie, mais par chance, le chien-loup réussit à le mettre hors d'état de nuire, en le faisant passer à travers à travers un lac gelé. Il faillit lui-même se noyer, mais il fut secouru par les deux ours. Malheureusement, pendant le combat, je fut blesser à la patte et me retrouva dans l'incapacité de continuer la route. je dûs donc rentrer, portée sur une branche par l'oie Borris, et les oursons Muk et Luk.
Mais l'absence de Balto se prolongeait. Les nuits se faisaient de plus en plus froide et difficiles à supporter, et, au désespoir de tous les parents de Nome, la lampe qui devait guider le traîneau qui devait rapporter le médicament jusqu'à la ville, la lampe qui symbolisait l'espoir de vie des malade, avait été éteinte, les humains pensant que c'était trop tard, que les chiens et le conducteur du traîneau étaient morts, et que les enfants étaient condamnés. Mais moi, je refusa de croire qu'il était trop tard, je refusa de croire ce lâche de Steel, qui était revenu seul, un soir, sortant du blizzard, racontant à tout le monde qu'il était le dernier survivant, qu'il avait traversait courageusement le désert de glace en tirant seul la caisse de médicament, mais que Balto était arrivé et avait tout gâché. Il mentait, je le savais, je le sentais jusqu'au bout de mes griffes. Balto était vivant, et il allait revenir ! Le soir même, je monta au sommet de la colline qui surplombait Nome, tirant avec moi une lampe à huile "Le soleil" et des morceaux de bouteilles cassées "La calotte glacière". J'utilisa alors la lumière de la lampe, qui se refléta sur les bouteilles et créa une grande aurore boréale, comme Balto m'avait appris à le faire, afin de le guider à travers la neige, et pour redonner espoir aux habitants de Nome.
Mais petit à petit, ma propre flamme, celle qui brûlait en moi, celle qui représentait mon propre espoir, s'éteignait elle aussi. Rosie allait de plus en plus mal, et l'attelage ne montrait toujours pas le bout de son museau. Je commençais à me demander si je ne devais pas tout simplement aller éteindre la lampe de l'aurore et accepter le chois du sort... jusqu'à ce qu'enfin, je l'entendis : un long et magnifique chant qui se leva à travers la nuit, un son qui ralluma la flamme de mon espoir comme celle d'un brasier. C'était le hurlement du loup ! Balto était de retour, avec le traîneau et le médicament, et tous les autres chiens, ainsi que le mucher. Ils était tous vivant, grâce à lui. Rosie et les autres enfants furent sauver, et Balto devint un héros à Nome. Je lui avoua le fait que j'étais amoureuse de lui, et il fit de même. Cette nuit-là, nous nous sommes alors mi en couple...
Le temps passa, et je donna naissance à une portait de petite chiots-louvetaux. Et avec les nouveaux parents, vienne de nouvelles aventures. Nous les avons élevés dans l'amour que nous devions porter à nos nouveau-nés, aussi doux envers eux que l'avaient était mes parents envers moi. Puis, à huit semaines, ils se firent adoptés par des humains, tous, sauf la seule petite dont la fourrure était aux couleurs de Balto : Aleu. Bien que je me voilais la face, que je refusais d'y croire, que je pensais qu'il suffisait de s'armer de patience et réessayer, je savais, tout au fond de moi, que jamais elle ne serait adoptée : elle ressemblait trop à un loup, encore plus que son père, pour qu'un humain veuille bien l'accepter dans sa famille. Et elle le comprit elle-aussi, lorsqu'elle atteignit son âge adulte : alors qu'elle jouait dans la forêt avec Muk et Luk, un chasseur tenta de la tuer. Par chance, les oursons, Boris et Balto intervinrent et lui sauvèrent la vie. Mais c'est ainsi qu'elle apprit, d'une façon bien trop brutale, qu'elle avait en elle des gênes de loup, et qu'à cause de ça, les bipèdes ne voudraient jamais d'elle... elle s'enfuit, partant à la recherche de son identité, de la raison de son existence : si ce n'était pas vivre auprès d'un maître et l'aimer, à quoi servait-elle ? Balto, après qu'on ai compris qu'elle avait faite une fugue, partit à sa recherche. Je voulus partir à sa avec lui, l'aider à chercher notre fille, mais l'oie Boris m'en dissuada : cette histoire devait se rêgler entre le père et la fille... plusieurs jours passèrent sans que je n'ai aucune nouvelle de ni l'un, ni l'autre. Puis, enfin, Balto revint... mais il était seul. Il m'apprit qu'Aleu et lui avaient rencontrés une meute de loups, et que notre fille était restée parmis-eux, devenant leur louve alpha. Je fus triste à l'idée de ne plus la revoir, mais heureuse pour elle : Aleu avait trouvée sa place dans le monde, et devait y être heureuse...
Les années ont continuaient à défiler... Balto et moi, nous somme devenus plus vieux, et nos enfants ont continuaient de grandir. Que ce soit parmi les hommes ou parmi les loups, ils ont tous trouvés leur place, tel que notre fils, Kody, qui est devenu membre du traîneau postal, un travail qui lui tenait terriblement à coeur. Tiens, je me souviens qu'à cette époque, un grand avion, un objet qui permettait aux humains de voler, était arrivé en ville... et c'est ce jour-là que Balto m'a avoué son rêve secret de voler... un rêve que je trouvais un peu bizarre, mais au fond, pourquoi pas ^^ Mais la présence du pilote de l'avion, du nom de Duke, n'était cependant pas forcément une bonne nouvelle : en effet, il était là pour prendre la place du traîneau postal. Les avions étaient plus rapide que les chiens... cependant, devant le scandale que cette annonce avait faite parmi les mucher, il fut décidé un compromis : une course aurait lieu entre le traîneau le plus rapide de Nome, guidé par Balto lui-même, et l'avion. Les autres chiens étaient sûr que mon compagnon réussirait à les mener à la victoire, mais lui, il doutait qu'un groupe de chiens soit capable de battre un de ces oiseaux-de-fer. Il avait peur de perdre la course, et par la même occasion, de perdre l'amour de Kody. Mais je le rassura : Kodi aimait son travail, mais il l'aimait beaucoup plus à lui. Et il ne voulait pas qu'il soit "le héros de la ville, le grand Balto, qui a sauvé Nome", comme il disait, mais juste qu'il soit son père, son père qui lui avait appris à courir, son père qui l'avait aidé à entrer dans ce travail, son seul père à lui... le jour de la course arriva, je leur souhaita bonne chance, et mes deux champions partirent... le temps passa. A plusieurs reprise, l'inquiétude me donna l'impression d'entendre le bruit des moteurs de l'avion. Et, au final, quelle ne fut pas ma joie de voir Balto, suivit des autres chiens et du traineau, franchir les premier la ligne d'arrivée. Mais cependant, quelque-chose n'allé pas. Tendis que tous faisait la fête, mon compagnon restait sur le coté : il s'inquiètait pour Duke, qui aurait dû revenir depuis longtemps. C'est alors que Muk et Luk arrivèrent, disant qu'un énorme monstre était tombé droit du ciel et avait tenté de les attaquer. A la description qu'ils nous donnèrent, on comprit ce qui s'était passé : l'avion s'était écrasé et avait failli leur tomber dessus !
Balto décida de partir à sa recherche, et il en fut encore plus décidait lorsqu'il apprit que Stella, une jeune oie touriste qui venait d'arriver à Nome, et qui avait un moment flirter avec Boris, avait jetée celui-ci dans l'avion avant que celui-ci ne parte. En effet, elle avait fait ça pour se venger lorsqu'elle avait apprise que Boris avait profité de sa gentillesse et l'avait laissé s'occuper de lui en lui faisant croire qu'il avait une aile blessée, parce qu'il... mais ça elle ne le savait pas... avait trop le vertige pour voler avec elle. C'est alors que Balto, Stella, Muk et Luk partirent pour une périeuse mission de sauvetage. Et une fois de plus, je me retrouva seule, à m'inquiéter du bien être de mon compagnon et de mes amis. Et quel ne fut pas ma surprise lorsque, le lendemain, je croisa Kody dans la rue, papotant avec ses amis. Balto m'avait pourtant dit, avant de partir, qu'il allait allé lui demander son aide, alors pourquoi était-il encore ici ? Il m'expliqua qu'il ne voulait pas aller sauver l'homme à cause de qui il avait faillit perdre son emploi. Ce jour-là, je lui remonta sérieusement les bretelles : je n'arrivais pas à croire que mon fils considérait son travail comme plus important qu'une vie ! Ce fut pour moi une terrible déception... les jours suivant, j'attendais avec impatience le retour de la petite troupe, espérant qu'il s'en était sortie, et qu'ils avaient retrouvés ceux qui s'étaient crashés... mon coeur s'envola lorsque le chant du loup retentit enfin à travers Nome, indiquant le retour de mon compagnon, un chant auquel je répondis de mon mieux, malgré le fait que je sois une chienne normal. Je fus aussi heureuse de voir qu'ils avaient réussis : Duke et Boris étaient parmis-eux. Je fus aussi étonnée, mais fier, de voir Kody et ses amis aussi : il semblait avoir reçus mon message et était parti la veille à la recherche de son père...
Les choses reprirent le cour normal, du moins, aussi normal que ça pouvait l'être dans la ville de Nome, dans la famille du célèbre héros Balto, le chien-loup. Duke à reconstruit son avion, le rebaptisant le Balto Flying, et offrit à celui-ci son baptême de l'air... quand à Boris, il a avoué à Stella pourquoi il s'était comporté comme un goujat envers elle, celle-ci comprit... après l'avoir un peu fait courir..., et maintenant, ils forment un jolie couple...
-Code : Je ne le connais pas, parce que je n'ai pas lu le règlement, parce que les règlements, c'est nul, c'est ennuyeux, et en plus ça sert à rien parce que je sais que je ne le suivrais pas. Quoi, ça vous plais pas ? M'en fiche, et vous avez pas intérêt à m'embêter, sinon je vous mes un coup de crocs dans le derrière, non d'un Dog ! -Nom : Désolé, mais ça, je préfère le garder pour moi-même 
-Âge : 18 ans.
-Aimez Vous ce Forum : Oui, il m'a l'air très sympathique 
-Des Remarques à Nous Faire : Euh... nan, rien pour le moment ^^
-Autre : Rien pour le moment non plus. | |
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